PERTURBATOR
attraction
«Mon nom ? Je voulais qu’il rappelle l’horreur et le cinéma d’exploitation, façon années 80.
Predator, Terminator, Annihilator, Vindicator…Plein de films de cetteépoque finissent commeça.
J’ai cherchépendant genre dix minutes, j’étais en train de manger des céréales. Et là, putain !
Un que personne n’avait jamais pris».
Et non, PERTURBATOR ne vient ni d’un autre système solaire, ni d’un futur désespéréoùdes robots ont génocidél’humanitéàcoup de fusils plasma.
Car derrière son nom méga-badass, sonélectro cyberpunk et l’imagerie satanique de ses albums, il y a bien un cœur qui bat : celui de James Kent, un Parisien de 24 ans.
Fils de Nick Kent (journaliste britannique de légende, retraitéaprès une carrière pour NME, la BBC, Les Inrocks ou encore Rock&Folk), le producteur s’est fait connaître il y a cinq ans avec sa participationàla série de jeux vidéo Hotline Miami.
Signésur Blood Music, un label de metal, l’artiste a depuis largement transpercéles frontières d’Internet et de la culture geek.
A son passif : des concerts partout sur le globe, et 10 000 spectateurs massacrés au niveau des cervicales lors du Hellfest de 2017.
Mais sa popularité, le bougre s’en tamponne pas mal.
Après avoir déterréle meilleur de Tangerine Dream, Vangelis et John Carpenter (avec lequel il a jouéàLas Vegas, pour Halloween), sa musique s’éloigne des années 80 avec son dernier projet, New Model.
Dites adieu aux néons rose fluo, Perturbator plonge vers la fin du monde, dans un univers aussi coloréqu’une cuve de mazout.
Bref, une ambiance presque aussi sombre que les cernes du bonhomme.
DAN TERMINUS Sur le même label que Perturbator et Gost, DAN TERMINUS est un mélange unique de synthéaérienne, de folles explosions french touch dans la veine de M.
OIZO, et de mélodiesépiques, lui donnant une place spéciale dans la scène synthwave depuis 2013.
Il est ...
Cco de Villeurbanne
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