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Soirée d'ouverture de la 25ème édition du festival JazzContreBand
Lisa Simone (USA)Line up : Lisa Simone (voix), Hervé Samb (guitare), Gino Chantoiseau (basse), Yoann Danier (batterie)
Le dernier album de Lisa Simone, « IN NEED OF LOVE » conforte Lisa dans sa position de chanteuse à voix, compositrice et auteure. À travers cet album, Lisa nous livre des expériences très personnelles allant de la souffrance à la réconciliation puis à la célébration et enfin à la guérison. Pour elle « La Vie est ma source d’inspiration ». Elle nourrit chacun de ses titres d’authenticité. Elle y ajoute également de son âme et de son groove, ce qui nous rappelle indéniablement que l’héritage des Simone est sain et sauf et qu’il continue toujours de vivre et de nous surprendre. Les 12 compositions ont été écrites et composées aux côtés de son ami et partenaire musical de toujours, Hervé Samb, l’enfant prodige de la guitare du Sénégal, qui, comme aime le dire Lisa « peut absolument tout jouer ! »
Enregistré au studio « La Fabrique » dans le sud de la France, « IN NEED OF LOVE »est le témoignage d’une personne qui se dresse au milieu de l’incertitude, trouvant son chemin et faisant rimer douleur avec joie. Lisa continue de partager avec succès son vœux le plus cher : « inspirer à travers la scène, l’amour et le positif chez les autres, en racontant sa propre vie et ce qu’elle a affronté ».
Julie Campiche 4tet (CH) - 1ère partieLine-up : Julie Campiche Quartet (harpiste), Leo Fumagalli (saxophoniste), Manu Hagmann (contrebassiste), Clemens Kuratle (batteur), Sophie Le Meillour (VJ-Mapping, création visuelle)
Voici le premier album de ce quartet qui cherche à sculpter les textures autant que les notes et dont tous les membres utilisent et expérimentent des effets sur leurs instruments. Résultat, le jazz progressif et les ambiances de cet Onkalo de baptême s’inscrivent dans les pas de tous ceux qui aiment pacser le synthétique à l’organique : du Norvégien Nils Petter Molvaer aux Anglais du Portico Quartet en passant par l’Américain Makaya McCraven ou les Canadiens de Godspeed You Black Emperor!. Et pourtant, surprise, aucun de ces noms ne fait partie des influences de Julie Campiche. Si elle se souvient avoir beaucoup écouté des artistes d’Europe du Nord ou les albums de musique traditionnelle du très atmosphérique label ECM (« par exemple Erzincan »), elle confie faire plutôt tourner en boucle les disques de personnalités qui semblent – a priori – éloignées de son univers musical : Lhasa, Cocorosie, Tom Waits, Portishead, Keith Jarrett, Joe Henry, Ahmad Jamal ou Arvo Pärt.
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